Andrea Scippe is a French artist based in Paris. She obtained her DNSEP from the École nationale supérieure d’art de Paris-Cergy in 2022 and spent a year at HGB Leipzig. Since then, she has participated in several residencies, including Villa Belleville (France), PADA (Portugal), and Sim Residency (Iceland), among others.
Her practice invites viewers to project themselves into artificial forms with a functional purpose. She questions the trajectories taken by asking, “What do they produce?”, “How do we cross them?”, and “Where do we look?”. She examines common spaces, the invisible threads they generate, and the constraints of space, transforming exhibition spaces into places for dialogue. She seeks to find images and objects that question the intrinsic qualities of time, resilience, and the subtle perceptions of life’s passage. Andrea is particularly interested in methods of preservation, focusing on the extraction and fixation of transitory objects, which are maintained in uncertain balances ranging from deliberate to delicate.
Her research resonates with an understanding of ecology as a questioning of our interactions with the environment, emphasizing “collecting”, “reusing materials”, and “minimizing production costs as much as possible”. Through her process of collecting and assembling, she captures not only the immediate impression of an object but also its echo of what came before. By contrasting and complementing forms, her work explores narratives of transmission, relationships, and individuality.
Her practice invites viewers to project themselves into artificial forms with a functional purpose. She questions the trajectories taken by asking, “What do they produce?”, “How do we cross them?”, and “Where do we look?”. She examines common spaces, the invisible threads they generate, and the constraints of space, transforming exhibition spaces into places for dialogue. She seeks to find images and objects that question the intrinsic qualities of time, resilience, and the subtle perceptions of life’s passage. Andrea is particularly interested in methods of preservation, focusing on the extraction and fixation of transitory objects, which are maintained in uncertain balances ranging from deliberate to delicate.
Her research resonates with an understanding of ecology as a questioning of our interactions with the environment, emphasizing “collecting”, “reusing materials”, and “minimizing production costs as much as possible”. Through her process of collecting and assembling, she captures not only the immediate impression of an object but also its echo of what came before. By contrasting and complementing forms, her work explores narratives of transmission, relationships, and individuality.
Andrea Scippe est une artiste française basée à Paris. Elle obtient son DNSEP à l’École nationale supérieure d’art de Paris-Cergy en 2022, et passe une année à HGB Leipzig. Elle a depuis participé à plusieurs résidences (Villa Belleville, France - PADA, Portugal - Sim Residency, Island, etc.)
Sa pratique invite le spectateur à se projeter dans des formes artificielles à visées fonctionnelle. Elle interroge les trajectoires empruntées : «Que produisent-elles ?», «Comment les traverse-t-on ?», «Où regarde-t-on ?». Elle examine les lieux communs, les fils invisibles qu’ils génèrent et les contraintes de l’espace, transformant un espace d’exposition en lieu de dialogue. Elle s’intéresse aux images et aux objets trouvés pour questionner les qualités intrinsèques du temps, la résilience et les sous-perceptions du passage de la vie. Andrea s’intéresse aux méthodes de conservation, impliquant l’extraction et la fixation d’objets transitoires, maintenus dans des équilibres incertains qui vont de délibérés à délicats.
Si on entend «l’écologie» comme un questionnement sur les interactions avec son environnement, «collecter», «réutiliser des matériaux» et «avoir un coût de production le plus proche de 0», alors cette recherche entre en résonance directe avec sa pratique. En collectant et en assemblant, elle rassemble non seulement l’impression immédiate d’un objet, mais aussi l’écho de ce qui l’a précédé, où les formes contrastées et complémentaires envisagent des récits de transmissions, de relations et d’individualité.
Sa pratique invite le spectateur à se projeter dans des formes artificielles à visées fonctionnelle. Elle interroge les trajectoires empruntées : «Que produisent-elles ?», «Comment les traverse-t-on ?», «Où regarde-t-on ?». Elle examine les lieux communs, les fils invisibles qu’ils génèrent et les contraintes de l’espace, transformant un espace d’exposition en lieu de dialogue. Elle s’intéresse aux images et aux objets trouvés pour questionner les qualités intrinsèques du temps, la résilience et les sous-perceptions du passage de la vie. Andrea s’intéresse aux méthodes de conservation, impliquant l’extraction et la fixation d’objets transitoires, maintenus dans des équilibres incertains qui vont de délibérés à délicats.
Si on entend «l’écologie» comme un questionnement sur les interactions avec son environnement, «collecter», «réutiliser des matériaux» et «avoir un coût de production le plus proche de 0», alors cette recherche entre en résonance directe avec sa pratique. En collectant et en assemblant, elle rassemble non seulement l’impression immédiate d’un objet, mais aussi l’écho de ce qui l’a précédé, où les formes contrastées et complémentaires envisagent des récits de transmissions, de relations et d’individualité.